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Tout ce qu’il faut faire en cas de décès

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Tout ce qu’il faut faire en cas de décès – Guide complet

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Personne n’aime penser au jour où un proche décédera, mais lorsque cela se produit, le choc peut être écrasant, même dans le cas d’un décès anticipé. Mais savoir ce qu’il faut faire peut atténuer le stress d’une situation aussi délicate. Voici les règles de base à suivre dans cette situation difficile.

Il convient de noter qu’il est nécessaire de diviser les dispositions en deux parties :

La première concerne la gestion du corps, depuis le décès de la personne jusqu’à l’enterrement ou la crémation. En règle générale, cela ne prend pas plus de 48 heures après le décès.

La seconde aura lieu une fois que le corps aura été enterré ou incinéré. Nous commencerons à nous occuper de toutes les formalités administratives nécessaires pour régler des questions telles que l’héritage, les pensions pour les membres de la famille et les questions juridiques consécutives au décès d’une personne.

Partie 1 – Gestion et formalités depuis le décès jusqu’à l’inhumation ou la crémation du corps du défunt.

Dans le cas où le défunt a souscrit une assurance obsèques : Tout ce qu’il faut faire en cas de décès

Vous devrez appeler le service d’assistance téléphonique des services funéraires de la compagnie auprès de laquelle l’assurance a été souscrite. La compagnie d’assurance se chargera de toutes les démarches, procédures et coûts liés au décès, ainsi que de fournir des conseils juridiques pour les procédures qui ne sont pas incluses dans la police.

comment acheter une étoile pour un défuntDans le cas où vous n’avez pas souscrit d’assurance obsèques :

Lorsqu’une personne décède, les premières mesures à prendre sont d’enterrer ou d’incinérer le corps.
Dans les 24 heures qui suivent le décès, il faut prendre les mesures nécessaires pour enterrer ou incinérer le corps du défunt dans les 24 à 48 heures qui suivent le moment du décès dans les cas habituels.
La procédure se complique si le décès a lieu à l’étranger et que le corps doit être rapatrié, si le décès a lieu lors d’un naufrage ou d’un accident d’avion, ou si le décès est lié à une enquête judiciaire.

Commençons par détailler les étapes de base à suivre :

 

1. Obtenir le certificat médical de décès

Il s’agit du certificat officiel attestant le décès d’une personne. Ce certificat peut être délivré par le médecin qui a soigné la personne décédée ou par tout autre médecin qui constate le décès.
Ce certificat peut être délivré par le médecin qui a soigné la personne décédée ou par tout autre médecin qui constate le décès.
Ce certificat n’est pas nécessaire s’il existe un jugement ou une décision judiciaire attestant la certitude du décès, et dans ce cas, c’est l’organe judiciaire compétent qui procédera à l’inscription au registre civil.

Dans le cas des donneurs d’organes, il faut savoir que le processus de don ne peut être effectué qu’en cas de décès dans une unité de soins intensifs d’un hôpital, car c’est dans ces unités qu’il est possible de conserver les organes et d’effectuer les tests nécessaires pour une évaluation correcte du donneur potentiel, et toujours après l’autorisation de la famille, en signant le formulaire de consentement familial.

2e inscription au registre de l’état civil

Une fois le certificat obtenu ou avec la décision du tribunal compétent, il faut procéder à l’inscription au registre civil, normalement dans la municipalité où le décès de la personne a eu lieu.
Cette inscription doit être effectuée dans les 24 heures suivant le décès et le permis d’inhumer sera obtenu.

Il existe quelques exceptions :

Si le lieu du décès est inconnu, l’inscription se fait à l’endroit où le corps a été trouvé.
En cas de décès au cours d’un voyage, l’enregistrement se fait au lieu d’inhumation ou, à défaut, au lieu d’arrivée.
En cas de naufrage ou d’accident aérien, l’enregistrement est effectué au lieu de la première procédure ; si celle-ci n’est pas effectuée par les autorités espagnoles, la compétence dépend du lieu de l’accident.
Contenu de l’enregistrement du décès :

Les informations suivantes doivent être complétées dans le format fourni par le registre :

Nom et prénom(s) du défunt.
Nom des parents.
État civil
Nationalité.
Date et lieu de naissance.
Dernière adresse
Date, lieu et heure du décès.
Lieu d’inhumation.
Citation de la documentation dont les données ci-dessus ont été extraites, à moins que le déclarant n’en ait connaissance, et indication d’autres données ou éléments d’identification lorsque les données requises ne sont pas connues, tels que des vêtements, des documents trouvés avec le défunt, des photographies, etc.

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Qui peut enregistrer le décès à l’état civil ?

Non seulement ils peuvent le faire, mais ils sont obligés de le faire :

En général : La famille la plus proche du défunt (parents par le sang jusqu’au quatrième degré et parents jusqu’au deuxième degré : parents, grands-parents, enfants, petits-enfants, frères et sœurs, oncles et tantes, cousins et cousines et beaux-frères et belles-sœurs), ou à défaut, les voisins. Toute personne ayant connaissance du décès d’une personne est considérée comme habilitée à procéder à l’inscription dans le registre.

Cas particuliers : si le décès survient hors du domicile, les parents, la direction des hôpitaux, des cliniques ou des établissements de santé où le décès s’est produit, sont tenus de promouvoir l’inscription au registre civil.

En outre, le médecin qui a soigné le défunt lors de sa dernière maladie, ou tout autre médecin qui reconnaît le cadavre, doit immédiatement envoyer le certificat de décès au registre avec les données requises, en précisant les causes et les signes indubitables de la mort, ainsi que l’existence éventuelle de signes de mort violente.

L’inscription peut également se faire par jugement ou ordonnance du tribunal.

Normalement, ce sont les pompes funèbres qui effectuent l’enregistrement au bureau d’état civil pour le compte de la famille.

 

3º Demande et obtention du permis d’inhumer

Une fois l’inscription au registre de l’état civil effectuée, nous pouvons demander le permis d’inhumer ou de crémation, qui peut être délivré 24 heures après le décès de la personne.

4º Transfert au cimetière ou au crématorium

Une fois le permis d’inhumer obtenu, nous pouvons maintenant transférer le défunt au cimetière où il sera enterré ou au crématorium qui assurera le service. Ce transfert sera effectué par l’entreprise de pompes funèbres que nous avons mandatée.

Dans le cas d’un décès à l’étranger, les formalités pour le transfert du corps en France doivent être effectuées auprès de l’ambassade de France du pays où le décès a eu lieu, de la même manière qu’en Espagne, les certificats de décès du pays compétent, les certificats de santé attestant le décès, et les instructions correspondantes doivent être suivies, Cela dépendra de la politique de santé mortuaire du pays en question et des accords que chaque pays peut avoir avec la France, il y aura des variations s’il s’agit de pays européens, américains, asiatiques, africains ou océaniens, la meilleure option est toujours de se rendre à l’ambassade française dans le pays du décès où nous serons informés de toutes les procédures nécessaires dans ce pays.

5. l’enterrement ou la crémation

La dernière étape après le décès d’une personne est l’inhumation ou l’incinération du corps. Le corps sera enterré, sauf si le défunt a exprimé son souhait d’être incinéré dans le certificat de dernières volontés, ou si un parent direct exprime le souhait de la famille de procéder à l’incinération du corps, en informant le médecin qui délivre le certificat médical de décès que cela sera mentionné dans le certificat.

RÉSUMÉ DES FORMALITÉS REQUISES AVANT L’INHUMATION OU LA CRÉMATION DU CORPS DE LA PERSONNE DÉCÉDÉE, Tout ce qu’il faut faire en cas de décès

Certificat médical de décès – Si la personne décède dans l’unité de soins intensifs d’un hôpital, il sera demandé à la famille de signer ou non le consentement familial au don d’organes, qu’elle considère ou non qu’il s’agissait de la volonté de la personne décédée. Si la personne décédée est apte au don d’organes.
Enregistrement du défunt dans le registre d’état civil.

Demande et obtention du permis d’inhumer.
Transfert du corps au cimetière ou au crématorium.
Inhumation ou crémation du corps, avec ou sans funérailles religieuses préalables, selon les croyances du défunt et/ou de la famille.
Il faut savoir que dans le cas où le défunt aurait souscrit une assurance obsèques, celle-ci couvrirait le service de traitement et le coût financier de l’ensemble du processus, de sorte que nous n’aurions à nous préoccuper de pratiquement rien, puisqu’un agent funéraire s’occuperait de toutes les formalités.

 

Partie 2 – Une fois l’enterrement ou la crémation du corps effectués, nous commencerons par les formalités administratives liées au décès de la personne, à l’héritage, aux pensions, aux obligations, etc…Tout ce qu’il faut faire en cas de décès

La première chose à faire est de rassembler les documents suivants concernant le défunt et sa situation financière :

Le certificat de dernières volontés
L’attestation des contrats d’assurance pour la couverture décès.
Le testament ou la déclaration des héritiers
L’inventaire des biens
Le partage de l’héritage ou cahier de partage.
Une fois ce processus documentaire achevé, nous serons en mesure de prendre possession des biens hérités et/ou de demander des prestations de sécurité sociale et des pensions.

Examinons ces processus point par point :

1) Attestation des dernières volontés
Document nécessaire à tout acte de succession, il atteste qu’une personne a rédigé un testament et devant quel(s) notaire(s) elle l’a fait. Les héritiers peuvent ainsi se rendre chez le notaire qui a autorisé le testament et en obtenir une copie.

Demande d’attestation des dernières volontés : elle peut être demandée 15 jours ouvrables après la date du décès.

Paiement de la taxe pour l’attestation des dernières volontés :
Prix de la taxe : Actuellement, le prix de la taxe pour l’obtention du certificat de dernières volontés est de 3,70€.

De l’étranger : de la même manière que précédemment, par l’intermédiaire d’institutions financières collaboratrices ou par virement bancaire, en envoyant la preuve du paiement et l’original validé de la “copie pour l’administration”.

Qui peut demander et/ou présenter le certificat : Toute personne, à condition de présenter les documents nécessaires ou, dans le cas d’une demande télématique, de disposer des données nécessaires mentionnées ci-dessus.

2. Certificat d’assurance Contrats de couverture décès.
Il s’agit du document qui accrédite les contrats d’assurance en vigueur dans lesquels la personne décédée figurait en tant qu’assurée et auprès de quelle compagnie d’assurance. Si la personne ne figurait comme assurée dans aucun contrat d’assurance, cette situation sera expressément mentionnée dans le certificat. Il est utile de connaître les assurances auxquelles la personne décédée a pu être affiliée, afin de voir si l’on peut demander une indemnisation à l’une d’entre elles avant de faire face aux frais et aux taxes de l’héritage.

Pour plus d’informations, vous pouvez consulter notre publication “Comment savoir si quelqu’un a souscrit une assurance obsèques”.

À garder à l’esprit : Les bénéficiaires de l’assurance vie complémentaire peuvent être désignés dans la police d’assurance, mais aussi dans le testament. Il faut tenir compte du fait que c’est le testament qui prévaut, si dans le testament un bénéficiaire d’une police est désigné, c’est lui qui recevra l’indemnité, même si la police désigne un autre bénéficiaire.

En tout état de cause, si le testament indique un bénéficiaire différent de celui indiqué dans la police, il est conseillé d’en informer l’assureur afin qu’il l’indique dans la police et qu’il n’y ait pas de doutes en cas d’indemnisation.

Une fois que l’on dispose du certificat des dernières volontés et du certificat des contrats d’assurance décès, il convient de vérifier s’il existe un testament ou s’il est nécessaire de faire une déclaration d’héritiers.

3. Testament ou déclaration des héritiers, Tout ce qu’il faut faire en cas de décès
Il est nécessaire d’avoir un testament ou une déclaration d’héritiers, mais il peut y avoir deux situations, si le défunt a un testament ou s’il n’en a pas. Voyons ce qu’il faut faire dans chaque cas.

Si le défunt a déjà fait un testament

Dans le certificat de dernières volontés, il est précisé que si le défunt a fait un testament, il suffit de se rendre chez le notaire devant lequel il l’a fait et d’en demander une copie autorisée (y figureront : la date du testament, le nom du notaire et l’étude du notaire).

Comment demander le testament ? Tout ce qu’il faut faire en cas de décès

En personne, auprès de l’étude notariale correspondante, par toute personne mentionnée dans le testament ou par toute personne intéressée à la succession (ou mandataire spécial).
Par courrier, au moyen d’une lettre de demande signée et notariée.

Dans les deux cas, l’original du certificat de dernières volontés et de l’acte de décès doit être joint.
Le coût de la copie autorisée du testament dépend du nombre de pages du testament et de son ancienneté.

En l’absence de testament, tout ce qu’il faut faire en cas de décès
Nous devrons procéder à une DÉCLARATION DES HÉRITIERS, si tel est le cas, cette situation sera expressément spécifiée dans le certificat de dernières volontés.

Il est possible que le défunt n’ait pas fait de testament, nous devrons alors nous adresser à un notaire pour déterminer qui sont les héritiers conformément à la législation en vigueur.

Depuis le 23 juillet 2015, la déclaration des héritiers se fait dans les études notariales, auparavant elle se faisait dans les tribunaux, ceci a été accéléré avec l’entrée en vigueur de la nouvelle loi sur la juridiction volontaire.

Tout ce qu'il faut faire en cas de décès

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Qui a le droit d’hériter en l’absence de testament ? Tout ce qu’il faut faire en cas de décès

Selon le territoire où la succession a lieu, les héritiers varient, mais selon le code civil, ils sont les suivants :

Les enfants et les descendants.
Les parents et les ascendants.
Le conjoint (le concubin n’hérite pas du défunt en droit commun, les exceptions doivent être vues en fonction des lois autonomes et territoriales où le concubin a ce droit).
Les frères et sœurs, les neveux et nièces.
Oncles et tantes.
Parents collatéraux du 4ème degré : cousins, oncles et neveux et nièces de second rang.

Quel notaire est compétent pour faire la déclaration d’héritiers ?

Le notaire public du dernier domicile ou de la dernière résidence habituelle du défunt.
Le notaire du lieu où se trouve la plus grande partie de l’héritage.
Le notaire du lieu du décès.
Un notaire d’une commune limitrophe de la précédente.
Les documents nécessaires dépendent de chaque bureau de notaire, en principe :

L’original de l’acte de décès et du certificat de dernières volontés.
Acte de naissance de tous les héritiers.
Actes de décès des personnes appelées à la succession avant le décès et du degré le plus proche.
Livrets de famille.
Autres documents.

Témoins :

Deux témoins connaissant la famille doivent être présents et déclarer qu’ils n’ont pas connaissance d’autres héritiers.

Signature de la déclaration d’héritiers :

Une fois que nous avons réuni toute la documentation nécessaire, par nous-mêmes ou par l’intermédiaire d’un avocat, l’intéressé et les témoins seront convoqués à l’étude notariale correspondante pour signer l’acte devant le notaire.

Délai pour la formalisation de la déclaration d’héritiers :

Il s’écoule au moins 20 jours ouvrables entre la signature de l’acte et la déclaration des héritiers par le notaire.

En fonction de chaque situation, le traitement des certificats peut devenir assez compliqué, surtout dans le cas d’un grand nombre d’héritiers collatéraux. Il est donc conseillé d’engager un professionnel pour s’occuper de toutes les formalités administratives à notre place afin de nous épargner du travail et d’éventuels manques de documentation.

Il convient de mentionner qu’actuellement, une couverture complémentaire d’une assurance décès (assurance qui figurera dans le registre des couvertures d’assurance décès) est la rédaction d’un testament en ligne du vivant de l’assuré et validé devant un notaire (dont les frais sont intégralement pris en charge par la compagnie d’assurance), évitant ainsi toutes ces procédures à la famille.

Une fois le testament obtenu ou la déclaration des héritiers effectuée, il faudra faire l’inventaire des biens qui composent l’héritage.

4. L’inventaire, tout ce qu’il faut faire en cas de décès
L’inventaire est la description des biens qui composent la succession et leur évaluation.

Tous les biens de la succession doivent être évalués en fonction de leur valeur marchande réelle. Il faut tenir compte du fait que la valeur marchande des biens immobiliers, par exemple, ne coïncide pas nécessairement avec leur valeur cadastrale. Bien que dans le cas des biens immobiliers, chaque communauté autonome a développé une procédure pour l’évaluation des biens immobiliers.

Nous distinguerons deux types de biens dans l’inventaire successoral, l’actif et le passif :

Les actifs sont constitués de :
Biens immobiliers, liquidités, soldes, actions, véhicules, assurances, biens ménagers….

Examinons en détail chacun des éléments qui composent le patrimoine :

Biens immobiliers : Il sera nécessaire de recueillir les actes que la personne décédée a pu conserver.

S’il n’y a pas d’actes ou si nous ne pouvons pas les trouver, nous devrons nous adresser aux services suivants :

Registre foncier : demander de simples notes sur les biens qui sont enregistrés au nom du défunt dans le registre.

Cadastre : vous devrez vous rendre dans un point d’information du cadastre, normalement dans les mairies, où l’on peut délivrer des certificats cadastraux pour tous les biens de la personne décédée.

Métaux, soldes, actions : Avec l’acte de décès, le certificat de dernière volonté ou l’acte de déclaration des héritiers aux institutions financières, afin qu’elles certifient les soldes, les actions, les fonds, etc. que possédait la personne décédée. Les soldes seront précisés au jour du décès.

Avant d’aller de banque en banque pour savoir si le défunt était client, on peut vérifier la documentation que le défunt possédait à son domicile ou consulter la dernière déclaration d’impôt sur le revenu des personnes physiques où figurent tous les produits financiers ayant une incidence fiscale que le défunt possédait.

Véhicules : les véhicules appartenant au défunt doivent être inclus dans l’inventaire.

Assurance-vie : Les sommes reçues au titre d’une assurance-vie ne font pas partie de l’héritage, le bénéficiaire ne doit pas nécessairement être un héritier, il peut s’agir de toute personne physique ou morale que le défunt avait désignée comme bénéficiaire auprès de la compagnie d’assurance ou spécifiée dans le testament.

Dans tous les cas, il convient de noter que le montant à recevoir en compensation de l’assurance-vie contractée est soumis à l’impôt sur les successions et les donations, mais qu’il peut être réglé avant de régler les impôts relatifs à la succession. Par conséquent, une police d’assurance vie peut être réglée avant la succession et l’indemnité reçue peut être utilisée pour payer les droits de succession et de donation afin de devenir héritier de la succession.

Une assurance vie complémentaire contractée dans le cadre de notre assurance obsèques peut s’avérer très utile pour prendre en charge les frais liés à la succession ainsi que les taxes.

Biens ménagers : dans tous les cas, la veuve ou le veuf peut conserver les biens ménagers.
Les biens de grande valeur ne sont pas inclus (selon le code civil, “les bijoux, les objets artistiques, historiques et autres de valeur extraordinaire ne sont pas compris dans le trousseau”).

Le passif se compose des éléments suivants : les dettes de la personne décédée et les dettes de l’héritage :
Les dettes de la personne décédée et les dettes de l’héritage.

Dettes de la personne décédée : Il faut savoir que lorsqu’un héritage est accepté, en plus des biens du défunt, ses obligations sont également héritées, il faut donc tenir compte des dettes contractées par le défunt.

Nous pourrions payer les dettes contractées dans le cadre de l’héritage en vendant les biens hérités ou les liquidités dont disposait la personne décédée, mais cela pourrait ne pas suffire et nous devrions alors payer les dettes avec notre propre argent et nos propres biens.

Il n’est pas conseillé de devenir héritier de manière expresse ou tacite (en accomplissant un acte qui implique de devenir héritier, comme l’utilisation des biens du défunt ou la disposition des liquidités du défunt) sans avoir évalué au préalable s’il est souhaitable ou non de devenir héritier. Il est préférable de consulter un avocat spécialisé en la matière avant d’entreprendre quoi que ce soit pour devenir héritier, renoncer à l’héritage ou accepter l’héritage sous bénéfice d’inventaire.

Le fait que l’assurance-vie puisse être réglée avant le reste de l’héritage devient intéressant dans le cas où une personne a contracté des dettes d’un montant important ou que ces dettes dépassent la valeur des biens. L’indemnité de l’assurance-vie peut être utilisée pour faire face aux situations suivantes

Dettes d’héritage : il s’agit des dépenses liées à l’héritage, y compris les frais d’enterrement, d’incinération, de transfert national et international du corps de la personne décédée. Il s’agit également des dépenses ou des coûts liés à la délivrance des certificats officiels nécessaires à la gestion de l’héritage, des honoraires d’avocats, etc.

Il faut savoir que si la personne décédée avait souscrit une assurance obsèques, les frais dérivés de l’inhumation ou de la crémation du corps seront couverts par l’assurance.

Une fois que l’inventaire complet a été évalué, nous procédons au partage de l’héritage.

5. Le partage de l’héritage ou cahier de partage
Le partage de la succession est un document fondamental, dans lequel figureront toutes les personnes intéressées par la succession, ainsi que les biens, les droits et les obligations à hériter.

Il est conseillé de le faire réaliser par un avocat spécialisé dans ce domaine, car il s’agit d’un document complexe. L’avocat convoquera toutes les parties intéressées pour qu’elles lisent et signent l’acte, manifestant ainsi leur accord sur la répartition de l’héritage.

Il peut s’agir d’un acte privé ou public. Il sera privé lorsqu’il n’y a pas de volonté de partager l’héritage ou lorsqu’il n’y a qu’un seul héritier, auquel cas il suffira de légitimer la signature de l’acte.

Il sera public lorsque les biens immobiliers de l’héritage doivent être inscrits au registre foncier, sauf dans le cas d’un seul héritier.

Une fois ce document établi, les droits de succession peuvent être payés.

Paiement des droits de succession :
Nous pouvons distinguer deux types de taxes lors de la gestion d’un héritage, la première étant l’impôt sur les successions et les donations, et la seconde la taxe sur l’augmentation de la valeur des terrains urbains.

Impôt sur les successions
Il s’agit d’un impôt qui doit être payé lorsque l’on veut hériter de quelque chose d’une personne décédée, car il n’est pas obligatoire et l’on peut renoncer à un héritage.

Techniquement, il s’agit d’un impôt direct (acquisition directe de biens et de droits), personnel (par rapport à une personne déterminée), subjectif (la situation personnelle du bénéficiaire est prise en compte), progressif (le taux d’imposition sera fonction de la base imposable du contribuable, c’est-à-dire de la personne qui doit payer l’impôt), instantané (cet impôt se produit de manière isolée). L’impôt est prélevé directement sur les plus-values des personnes physiques provenant gratuitement du décès d’une autre personne.

Le délai de paiement de l’impôt est de 6 mois à compter de la date du décès, bien qu’un délai supplémentaire puisse être demandé, ce qui affectera l’impôt avec un intérêt de retard, par exemple, 3,75 % en 2016.

Pour demander une prorogation, il faut présenter une demande accompagnée de l’acte de décès, en indiquant les noms, adresses et degrés de parenté des héritiers du défunt. Il faut également indiquer la situation et la valeur des biens et des droits du défunt ainsi que les raisons pour lesquelles on demande un délai pour le paiement des droits de succession.

Dans le cas de l’auto-évaluation, c’est l’intéressé qui calcule et paie le montant de l’impôt sur les successions ; dans le cas de la déclaration, l’intéressé présente toute la documentation et l’administration détermine le montant à payer au titre de l’impôt sur les successions.

Lieu de paiement des droits de succession : L’impôt sur les successions est acquitté à l’Etat français.

L’héritier qui réside hors de France doit payer l’impôt sur les successions dans l’État français. Si le défunt résidait hors de France, même si l’héritier réside en France, l’impôt sur les successions doit également être payé à l’État français, bien que l’on puisse déduire le montant qui aurait été payé à l’étranger pour un impôt similaire dans le pays où le décès a eu lieu.
Il faut également tenir compte des accords que la France a signés avec l’Espagne, la Suède ou la Grèce pour éviter la double imposition.

6. Prise de possession des biens hérités
Une fois tous les impôts payés, tous les biens peuvent être mis au nom des héritiers.

Biens immobiliers : il n’est pas obligatoire d’inscrire le bien au registre foncier, mais il est conseillé de le faire pour les biens immobiliers. Le registre foncier enregistre tous les droits et intérêts sur le bien immobilier en question, y compris le droit d’usufruit.
Pour les biens non inscrits au registre foncier, il est important de procéder au partage de la propriété dans un acte public. Si le partage a été effectué dans une étude notariale, celle-ci sera chargée de le communiquer à la Direction générale du cadastre, sinon nous pouvons le faire nous-mêmes.

Argent liquide, soldes, titres et assurances : Nous devrons nous adresser aux différentes entités justifiant le paiement des impôts correspondants afin qu’elles nous remettent les impôts correspondants. Il faut savoir que les entités sont obligées de les conserver jusqu’à ce que le paiement de l’impôt soit justifié.

Véhicules : le transfert 

Une fois que les biens de l’héritage ont été saisis, nous pouvons avoir droit à certaines prestations de l’État français sous forme d’allocations ou de pensions dans le cas où une personne était financièrement dépendante de la personne décédée.

7. Demande de prestations de sécurité sociale et de pensions.
Techniquement, il s’agit de prestations de décès et de survie, que l’on peut demander après le décès d’une personne, en fonction de chaque situation personnelle.

Voici les types de pensions, d’aides ou de prestations que l’on peut demander après le décès d’une personne :

Pension de veuve ou de veuf.
Pension d’orphelin.
Pension en faveur des membres de la famille.
Subvention en faveur des membres de la famille.
Allocation de décès.

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Examinons chaque type de pension.

Pension de veuve ou de veuf
Qu’est-ce que la pension de veuve ou de veuf ?
Il s’agit d’une pension financière à vie destinée aux personnes qui étaient mariées ou vivaient en concubinage avec la personne décédée et qui remplissent les conditions requises. Elle est destinée à couvrir les besoins financiers pouvant résulter du décès de la personne décédée.

Qui peut prétendre à la pension de veuve ou de veuf ?
Le conjoint, le partenaire non marié, les personnes séparées, divorcées ou dont le mariage a été déclaré nul.

Quelles sont les démarches à effectuer pour demander la pension de veuve ou de veuf ?
Remplir le formulaire de demande de prestations de survivant, fournir les documents personnels requis dans le formulaire de demande.

Pension d’orphelin
Qu’est-ce qu’une pension d’orphelin ?
Il s’agit d’une pension financière accordée aux enfants de la personne décédée et à ceux de son conjoint.

Qui peut prétendre à une pension d’orphelin ?
Les enfants âgés de moins de 21 ans ou de plus de 21 ans atteints d’une invalidité permanente absolue ou d’une invalidité majeure.

Les enfants âgés de plus de 21 ans et de moins de 25 ans qui n’ont pas de revenus du travail ou dont les revenus sont inférieurs au salaire minimum interprofessionnel de croissance.

Pension en faveur des membres de la famille

Qu’est-ce qu’une pension de famille ?
Cette pension est accordée aux membres de la famille qui ont vécu avec la personne décédée, qui étaient financièrement dépendants d’elle et qui remplissent les conditions requises.

Qui a droit à une pension familiale ?
Les petits-enfants et les frères et sœurs, les mères et les grands-mères, les pères et les grands-pères, les enfants et les frères et sœurs des titulaires d’une pension de retraite ou d’invalidité permanente, qui ont vécu avec le défunt et ont été financièrement à sa charge pendant au moins deux ans, qui n’ont pas droit à une autre pension publique et qui n’ont pas de moyens de subsistance.

Quelles sont les démarches à effectuer pour demander une pension familiale ?
Remplir le formulaire de demande d’allocation de survivant, fournir les documents personnels requis dans le formulaire de demande.

Allocations familiales
Qu’est-ce que l’allocation familiale ?
Il s’agit d’une prestation financière temporaire accordée aux membres de la famille qui ont vécu avec le défunt, qui étaient financièrement à sa charge et qui remplissent les conditions requises.

Qui peut bénéficier de l’allocation en faveur des membres de la famille ?
Les enfants et les frères et sœurs âgés de plus de 22 ans, célibataires, veufs, veuves, séparés ou divorcés qui, sans avoir droit à une pension, ont vécu avec le défunt au moins deux ans avant la date du décès, n’ont pas de moyens de subsistance ou dont le revenu est inférieur au salaire minimum, ainsi que les membres de la famille qui sont obligés et capables de subvenir à leurs besoins et qui n’ont pas droit à une pension de l’État.

Quand dois-je introduire une demande d’allocation de décès ?
Dans les 5 ans qui suivent la date du décès.

Une fois que nous avons vu les différents types de prestations et d’aides auxquelles nous pouvons prétendre, il n’y a plus de procédures à prendre en compte après l’enterrement de la personne décédée.

Pour faire le point sur tout ce que nous avons vu dans cette section, nous avons préparé un bref résumé des démarches à suivre après l’enterrement ou la crémation.

RÉSUMÉ DES DÉMARCHES À EFFECTUER APRÈS L’ENTERREMENT OU LA CRÉMATION DE LA PERSONNE DÉCÉDÉE

Attestation des dernières volontés et du testament
Attestation des contrats d’assurance décès.
Testament ou déclaration des héritiers.
Inventaire (description des biens de la succession et leur évaluation).
Rédaction du cahier de partage et désignation de chaque crédit d’héritage.
Paiement des impôts.
Droits de succession
Taxe sur l’augmentation de la valeur des terrains urbains (ancienne taxe municipale sur les plus-values).
Prise de possession des biens de la succession.
Demande d’allocations et de pensions.
Comme vous avez pu le constater, il s’agit d’un guide assez complet qui aborde toutes les démarches à effectuer en cas de décès d’une personne.

Il faut savoir que si le défunt avait souscrit une assurance obsèques, il est possible qu’il ait pris une couverture complémentaire pour l’aider à gérer ou lui donner des informations sur la manière de procéder à toutes ces formalités, généralement par l’intermédiaire d’un service d’assistance juridique, ou que le défunt ait même rédigé un testament par l’intermédiaire de son assurance obsèques.

Nous espérons que ces informations vous aideront à résoudre les doutes que vous pourriez avoir concernant les procédures ultérieures, les organismes à contacter, les certificats à obtenir et d’autres questions administratives.

N’hésitez pas à partager ces informations, à les évaluer, à commenter vos expériences ou à fournir toute information qui vous a aidé.

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